Caroline Chevalier

Ses racines auvergnates auraient-elles exercé quelque déterminisme sur ses prédilections ? En tout état de cause, Caro n’apprécie pas moins les joies de la montagne que les plaisirs gourmands. Entre les tablettes de chocolat à déguster ou à arborer, elle a choisi les deux. Sa formule est de fait imparable : après un bon ultra trail à fort dénivelé, un pot de pâte à tartiner paraît d’autant plus succulent qu’aucune préoccupation pondérale n’a lieu d’être. Les entraînements de Caro sont à l’image de sa passion de transmettre et de partager, et de son humour. Ils vous apprendront comme il se doit à joindre un esprit détendu à la quête de la performance, et vous révèleront sans coup férir votre hédonisme dans l’effort.

 

1. Pourquoi as-tu commencé à courir ?

Pour me mettre au trail ! Je suis une grande amoureuse de montagne depuis longtemps, et j’avais envie de passer de la rando à la course en montagne. Il a donc fallu se mettre à courir 🙂

2. Qu’est-ce qui te fait courir ?

Les plaquettes de chocolat que je m’enfile chaque jour 🙂 (il faut bien les éliminer…)

3. Quel est ton plus beau souvenir de course ?

Je n’ai pas un souvenir en particulier, plutôt des souvenirs qui tournent tous autour de moments partagés : l’arrivée du marathon de Paris avec Marie-Do, les rencontres faites sur les trails longs qui te font avancer quand tu penses que tu ne peux plus… Tout ce qui transforme un sport individuel en effort collectif.

4. Quel est ton pire souvenir de course ?

N’importe quel 10 km 🙂 Toutes ces courses après le chrono où le plaisir est quasiment absent de l’effort. Je n’y arrive plus.

5. Qu’est-ce qui te fait kiffer pendant les entrainements ?

La douche juste après, ça compte ? Plus sérieusement, et au risque de sembler monomaniaque, les séances dures où on se relaie dans un petit groupe pour faire avancer les autres.

6. Si tu étais un accessoire de running, tu serais …. ?

Je sais que si je dis « un slip », je retire à Eric sa raison d’entraîner, je ne peux pas lui faire ça. Une paire de bâtons de trail, accessoire discret mais fondamental pour porter mes petites jambes jusqu’aux cols les plus ardus. Une métaphore du boulot d’entraîneur, peut-être ? 🙂

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